Après le fiasco TAHA BOUHAFS, La NUPES investit un potentiel délinquant d’extrême gauche dans la 10ème circonscription de l’Isère !

Communiqué de presse de Gérard DEZEMPTE,

Maire de Charvieu-Chavagneux et Conseiller départemental de l’Isère

Président de Ensemble Pour la France

Monsieur Brunon, militant radical de la France Insoumise a été investi candidat de la NUPES aux élections législatives pour la 10ème circonscription de l’Isère. Après le fiasco de l’investiture puis de l’annonce du retrait du sulfureux Taha BOUHAFS dans la 14ème circonscription du Rhône en raison d’accusations d’agressions sexuelles et d’une condamnation pour injure à caractère raciste à l’encontre d’une femme fonctionnaire de police, le soutien de la NUPES à Monsieur Brunon a de quoi interpeller.

Le vendredi 26 novembre 2021 vers 15h, Monsieur Brunon pénétrait illégalement dans les locaux réservés au personnel de la mairie, accompagnés de 4 individus cagoulés qui ont placardé des affiches sur les murs et provoqué et menacé des agents de la commune de Charvieu-Chavagneux dont un agent de la police municipale. Pour ces faits, Monsieur Brunon a fait l’objet d’un contrôle d’identité par la brigade de Gendarmerie de Pont-de-Chéruy et d’une verbalisation pour non-port du masque dans l’enceinte de l’hôtel de ville.

Mais il y a beaucoup plus grave. Tout d’abord, en filmant et en diffusant la scène en direct sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram, Monsieur Brunon a violé le droit à l’image de 5 agents communaux et fait actuellement l’objet de cinq plaintes pour atteinte à l’intimité de la vie privée. Monsieur Brunon a également tenu des propos injurieux et surtout diffamatoires à l’encontre de Monsieur le Maire de Charvieu-Chavagneux. Ce florilège a été constaté par voie d’huissier. Les propos incriminés car mensongers sont les suivants :

 « En 1989, il détruit avec un bulldozer, la mosquée de Charvieu-Chavagneux manquant de tuer un fidèle en train de prier à l’intérieur ».

« En 2000, il refuse à une famille avec un nom maghrébin d’acheter un terrain sur la commune, quelques jours après, il vend le terrain à un couple français ».

Il convient de rappeler que dans l’affaire de la destruction, par erreur, d’une mosquée en 1989 à Charvieu-Chavagneux, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Lyon a prononcé un non-lieu en faveur de Monsieur le Maire, non-lieu confirmé par la Cour de cassation. Par conséquent, l’accuser d’avoir « personnellement » détruit ce bâtiment est totalement faux et relève de la diffamation.

Même conclusion dans la fausse affaire de discrimination à l’encontre d’une famille d’origine maghrébine. Le 17 juin 2008, la Cour de cassation a cassé et annulé en toutes ses dispositions, l’arrêt de la Cour d’Appel de Grenoble au motif que l’exercice du droit de préemption, ne saurait constituer le refus du bénéfice d’un droit accordé par la Loi. L’affaire avait alors été renvoyée devant une Cour d’appel de renvoi de la Cour d’appel de Lyon, qui, par un arrêt rendu le 4 février 2009, a statué par un non-lieu. Il est donc faux d’accuser Monsieur le Maire d’une quelconque discrimination dans l’utilisation du droit de préemption.

À la suite de ces accusations diffamatoires de Monsieur Brunon, par le Ministère d’un avocat, Monsieur le Maire a déposé plainte avec constitution de partie civile devant le doyen des juges d’instruction. Ces plaintes déposées ont déclenché une enquête du juge d’instruction qui conduira immanquablement à la mise en examen de Monsieur Brunon devant le Tribunal correctionnel.

Monsieur le Maire avait d’ailleurs écrit au Président de la Région Laurent Wauquiez ainsi qu’à la présidente du groupe Insoumis et Communiste, Madame Cécile Cukierman, employeur de Monsieur Brunon qui, à l’époque des faits, était attaché du groupe au Conseil Régional. Madame Cukierman, avait d’ailleurs répondu par courrier en date du 11 février 2022, en se désolidarisant du comportement de Monsieur Brunon et en condamnant fermement toute forme de menaces verbales ou d’intimidation à l’encontre d’un élu de la République, quelle que soit sa sensibilité politique.

Compte tenu du profil de Monsieur Brunon, son investiture comme candidat de partis démocratiques, est injustifiable et profondément contraire au respect que chaque candidat doit aux élus de la République. Le maintien d’un tel candidat dans la 10ème circonscription, est de nature à jeter l’opprobre et la honte sur cette coalition hétéroclite. Monsieur le Maire demande donc aux instances dirigeantes de la NUPES, de retirer l’investiture à Monsieur Allan Brunon et d’investir à la place, un candidat respectueux des fonctions de Maire et de la République.  

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