Lors du premier Conseil Municipal du 23 mai 2020, Mamadou Dissa a une fois de plus fait état de sa démagogie et de sa volonté de perturber la sérénité de la séance.
Monsieur Dissa a le don du phrasage, des incantations et des manipulations.
Comme à l’accoutumée, il a déployé sa démagogie habituelle lors de la première réunion du Conseil Municipal.
La Majorité Municipale n’est pas un groupe de pantins ayant pour vocation d’écouter et d’admirer benoîtement les pantomimes et les pitreries de Mamadou Dissa.
Samedi 23 mai, le Conseil Municipal s’est réuni avec un ordre du jour précis et la consigne donnée par le Gouvernement et la Préfecture était de faire court, afin de limiter les interventions au minimum pour éviter les risques de contamination compte tenu de la pandémie de COVID-19.
En technocrate, Mamadou voulait nous indiquer comment écrire un règlement intérieur du Conseil Municipal. Or, en ces temps difficiles, la Commune de Charvieu-Chavagneux n’a pas besoin d’un donneur de leçon pour savoir ce qu’il convient de faire et le Code Général des Collectivités Territoriales est suffisant. Depuis six mandats, les Conseils Municipaux précédents étaient déjà pourvus d’un règlement intérieur et il en sera de même pour les six ans à venir, ceci en temps voulu.
Mamadou veut donc se placer en Professeur et tente de dénigrer le groupe Majoritaire ; cherchant à prouver qu’il en sait plus que les autres. Cette habitude juvénile ne cacherait-elle pas un manque de confiance en lui ? Ou bien une volonté de salir le Maire qui se bat depuis de nombreuses années pour le bien de notre Commune.
Ou était Mamadou lors de ce confinement ? Confiné… Nous ne l’avons pas vu, il n’a même pas aidé pour les activités de mise sous plis ou de distributions de masques.
À l’heure où la Majorité a su se procurer des masques, réaliser des distributions, Monsieur Dissa pérorait et a même été aperçu faisant son footing autour de notre magnifique Lac de Fréminville. Une attitude surtout individualiste et égoïste.
Il a sans doute estimé que ces tâches de mise sous plis et de distribution n’étaient pas de son niveau, lui qui pourtant se vante d’être un professionnel de la solidarité (payé au passage sur les deniers publics).
Tout le monde se rend donc compte qu’entre la parole de Mamadou et ses actes, il existe une différence significative.
Que serait-il advenu si ce bonimenteur était devenu Maire ?
Charvieu-Chavagneux a besoin d’action. La période de crise économique et sociale qui s’ouvre doit nous obliger à la plus grande retenue et à privilégier l’intérêt général plutôt que des attitudes narcissiques et nombrilistes.
Mamadou se disant homme lettré, il devrait essayer de comprendre cette citation du subtil philosophe grec Aristote « L’égoïsme, voilà le genre d’amour qui est justement décrié, parce qu’il n’est pas l’amour de soi, mais une passion désordonnée de soi, passion funeste qui entraîne l’avare vers son argent, et tous les hommes vers l’objet de leurs désirs ».
